entre optimisme et pessimisme ?
L'année dernière, peu avant l'ouverture du synode, vous écriviez ici même qu'il n'y avait pas grand chose à craindre, et que le Pape, bien qu'un peu farfelu dans ses manières et laissant trop s'exprimer les courants hétérodoxes (je ne me rappelle pas si c'était avant ou après "l'intervention Kasper" au consistoire, je ne cherche pas le message précis auquel je pense et quelques autres peut-être dans ce sens, mais je ne crois pas trahir ce que vous écriviez) garderait de toutes façons in fine la barre et le cap du sain enseignement.
Puis toute l'année passée, lors de vos trop rares interventions, vous n'avez eu de cesse d'alerter et de vous inquiéter, et il y a eu de quoi j'en conviens sans peine.
Et à présent votre émoticône semble se réjouir de cet article optimiste et rassurant (je ne sais s'il l'est pour vous du fait des déclarations du Saint-Père quant aux "attentes démesurées" , ou de celles sur la possibilité de sa démission à moyen terme ... ).
Au fond, avez vous confiance en François, ou bien quel est le degré de confiance que vous lui accordez pour maintenir, je n'ose dire renforcer (je ne suis pas naïf, il n'est ni Benoît XVI ni saint Jean-Paul II) l'orthodoxie de la foi et de la morale ? Votre sentiment est-il cyclothymique ?
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