Note en forme de question : la sequela ? quid est ?

Je n'avais jamais entendu ni lu en français. Et vous ?
Est-ce courant en italien comme abréviation de Sequela Christi (aller à la suite du Christ) ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sequela_Christi
En anglais, c'est médical, ce sont les séquelles d'une affection maladive.
Est-ce le jeu de la traduction française de ce texte ?




Exercice //// de prélèvements des phrases selon trois angles de vue :
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J'aurais pu prendre les 3 crayons de couleur et tracer sur la feuille pour parcourir en groupant par couleur ensuite)
J'y aurais trouvé, selon Eric Z, tout et le contraire de tout...
En lisant les extraits regroupés, c'est flagrant...
Ce texte peut être un compliment aux monastères fidèles et un encouragement à qui brise les modèles anciens.


Pour les moines en clôtures ou les ermites
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(Fidélité à leur fondation, leur règle de départ, en comprendre le but et la mission :
Silence et prière, pilier du monde, louange divine de l'Eglise, rythmée, assurée.)

- Chacun de nos Instituts vient d’une riche histoire charismatique. À ses origines est présente l’action de Dieu qui, dans son Esprit, appelle certaines personnes à la suite rapprochée du Christ, à traduire l’Évangile dans une forme particulière de vie,

- il sera opportun que chaque famille charismatique se souvienne de ses débuts et de son développement historique, pour rendre grâce à Dieu

- parcourir à nouveau le chemin des générations passées pour y cueillir l’étincelle inspiratrice

- prendre conscience de la manière dont le charisme a été vécu au long de l’histoire, quelle créativité il a libérée, quelles difficultés il a dû affronter et comment elles ont été surmontées.

- Raconter son histoire, c’est rendre louange à Dieu et le remercier pour tous ses dons

- Pour les Fondateurs et les Fondatrices, la règle en absolu a été l’Évangile, toute autre règle voulait être seulement une expression de l’Évangile et un instrument pour le vivre en plénitude. Leur idéal était le Christ, adhérer à lui entièrement, jusqu’à pouvoir dire avec Paul : « Pour moi, vivre, c’est le Christ »

- L’Année de la Vie Consacrée nous interroge sur la fidélité à la mission qui nous a été confiée

° (diminution chez les contemplatifs ? = pas tous, du tout !)

- vous les jeunes. Vous êtes le présent parce que vous vivez déjà activement au sein de vos Instituts, en offrant une contribution déterminante avec la fraîcheur et la générosité de votre choix. En même temps, vous en êtes l’avenir parce que vous serez bien vite appelés à prendre en main la conduite de l’animation, de la formation, du service, de la mission.

- Que nous soyons appelés à expérimenter et à montrer que Dieu est capable de combler notre cœur et de nous rendre heureux, sans avoir besoin de chercher ailleurs notre bonheur ; que l’authentique fraternité vécue dans nos communautés alimente notre joie ;

- bien appliquer à la vie consacrée ce que j’ai écrit dans l’Exhortation apostolique Evangelii gaudium, en citant une homélie de Benoît XVI : « L’Église ne grandit pas par prosélytisme, mais par attraction »

- non pas que vous mainteniez des « utopies », mais que vous sachiez créer d’« autres lieux », où se vive la logique évangélique du don, de la fraternité, de l’accueil de la diversité, de l’amour réciproque.

- don qu’est la présence de tant de consacrées et de consacrés, héritiers de grands saints qui ont fait l’histoire du christianisme. Que serait l’Église sans saint Benoît et saint Basile, sans saint Augustin et saint Bernard, sans saint François et saint Dominique, sans saint Ignace de Loyola et sainte Thérèse d’Avila, sans sainte Angèle Merici et saint Vincent de Paul ? La liste serait presque infinie, jusqu’à saint Jean Bosco et à la bienheureuse Teresa de Calcutta.

- la sainteté des Fondateurs et des Fondatrices et de la fidélité de tant de consacrés à leur propre charisme.

- Le monachisme est un patrimoine de l’Église indivise, toujours très vivant aussi bien dans les Églises orthodoxes que dans l’Église catholique.... voire les Communautés ecclésiales réformées...

° (exit la précision de Benoît XVI sur la différence Eglise et églises, la communauté protestante a reçu sa majuscule ... plurielle ...)

- Je confie à Marie, la Vierge de l’écoute et de la contemplation

° (pas de la parole et de l'action vers les périphéries de l'existence...)


Pour rappeler quelque chose de Ste Thérèse
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(cloîtrée, attentive à ses soeurs, docteur de l'Eglise, et patronne des ... missions)

- de nouvelles initiatives et expressions de charité apostolique. C’est comme la semence qui devient un arbre en étendant ses branches.

- ces 50 dernières années faisant suite au Concile Vatican II, qui a représenté un ‘coup de vent’ de l’Esprit Saint pour toute l’Église. Grâce à lui la vie consacrée a mis en œuvre un chemin fécond de renouveau

- la vie consacrée a mis en œuvre un chemin fécond de renouveau qui, avec ses lumières et ses ombres, a été un temps de grâce, marqué par la présence de l’Esprit.

- pour confesser avec humilité et grande confiance dans le Dieu Amour (cf. 1 Jn 4, 8) sa propre fragilité et pour la vivre comme une expérience de l’amour miséricordieux du Seigneur

- Jésus est-il vraiment notre premier et unique amour, comme nous nous le sommes proposés quand nous avons professé nos vœux ?

- Vivez la mystique de la rencontre

° (pour Ste Thérèse d'avila, et ses pairs, c'était la rencontre avec Jésus...)




Pour les communautés nouvelles="ouvertes" du XX°
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( leurs prières sont là pour prendre des forces, vers le but : service visible aux gens de l'extérieur),

- l’écho du sentiment de beaucoup d’entre vous et de la Congrégation pour les Instituts de vie consacrée et les Sociétés de vie apostolique, à l’occasion du 50ème anniversaire de la Constitution dogmatique Lumen gentium sur l’Église, qui au chapitre VI traite des religieux, comme aussi du Décret Perfectae caritatis sur le renouveau de la vie religieuse,

- Regardez vers l’avenir, où l’Esprit vous envoie pour faire encore avec vous de grandes choses »

- lire avec les yeux de la foi les signes des temps, à répondre avec créativité aux nécessités de l’Église.

- les Fondateurs se sont aussi mis au service de l’humanité à qui l’Esprit les envoyait,

- Les mêmes générosité et abnégation qui animaient les Fondateurs – demandait déjà saint Jean-Paul II – doivent vous conduire, vous, leurs enfants spirituels, à maintenir vivants leurs charismes qui, avec la même force de l’Esprit qui les a suscités, continuent à s’enrichir et à s’adapter,

- Dans une société de l’affrontement, de la cohabitation difficile entre des cultures différentes, du mépris des plus faibles, des inégalités, nous sommes appelés à offrir un modèle concret de communauté

- donc des femmes et des hommes de communion, rendez-vous présents avec courage là où il y a des disparités et des tensions,

- la rencontre : « la capacité d’entendre, d’être à l’écoute des autres. La capacité de chercher ensemble le chemin, la méthode »

- difficultés que rencontre la vie consacrée dans ses différentes formes : la diminution des vocations et le vieillissement, surtout dans le monde occidental,

- écrire une grande histoire dans l’avenir, vers lequel nous devons tenir notre regard tourné, conscients que c’est vers lui que nous pousse l’Esprit Saint pour continuer à faire avec nous de grandes choses.

° (il me semblait que la vie consacrée était d'être avec Dieu et non de faire... Dieu n'a pas besoin de nos actions... mais c'est nous qu'Il veut, tout donnés)

- heureux de savoir que vous aurez des occasions de vous rassembler entre vous, jeunes de différents Instituts. Que la rencontre devienne un chemin habituel

- Nous aussi, comme tous les autres hommes et femmes, nous avons des difficultés : nuits de l’esprit, déceptions, maladies, déclin des forces dû à la vieillesse.

° (qui est la période de joie d'arriver au bout de la chandelle de sa vie exilée sur terre...)

- J’attends que « vous réveilliez le monde », parce que la note qui caractérise la vie consacrée est la prophétie.

- Le prophète se tient habituellement du côté des pauvres et des sans défense, parce que Dieu lui-même est de leur côté.

- « grand défi qui se trouve devant nous » en ce nouveau millénaire : « faire de l’Église la maison et l’école de la communion »

- La communion s’exerce avant tout à l’intérieur des communautés respectives de l’Institut. A ce sujet je vous invite à relire mes fréquentes interventions dans lesquelles je ne cesse pas de répéter que les critiques, les bavardages, les envies, les jalousies, les antagonismes, sont des attitudes qui n’ont pas le droit d’habiter dans nos maisons.

- le chemin de la charité qui s’ouvre devant nous est presque infini, parce qu’il s’agit de poursuivre l’accueil et l’attention réciproque, de pratiquer la communion des biens matériels et spirituels, la correction fraternelle, le respect des personnes les plus faibles… C’est « la ‘mystique’ du vivre ensemble », qui fait de notre vie un « saint pèlerinage »

- J’attends, de plus, que grandisse la communion entre les membres des divers Instituts. Cette Année ne pourrait-elle pas être l’occasion de sortir avec plus de courage des frontières de son propre Institut,

° (ce que n'ont pas fait les fondateurs, précisément fait autrement...)

- Personne ne construit l’avenir en s’isolant, ni seulement avec ses propres forces,

- sortir de soi-même pour aller aux périphéries existentielles.

° (le contraire de "convertis toi d'abord, si tu veux sauver le monde)

- Ne vous repliez pas sur vous-mêmes, ne vous laissez pas asphyxier par les petites disputes de maison, ne restez pas prisonniers de vos problèmes. Ils se résoudront si vous allez dehors aider les autres... (pour les mariages équilibrés c'est le contraire : on ne se marie pas pour résoudre ce qu'on n'a pas résolu en soi-même)

- J’attends de vous des gestes concrets d’accueil des réfugiés, de proximité aux pauvres, de créativité dans la catéchèse, dans l’annonce de l’Évangile, dans l’initiation à la vie de prière. Par conséquent, je souhaite l’allègement des structures, la réutilisation des grandes maisons en faveur d’œuvres répondant davantage aux exigence actuelles de l’évangélisation et de la charité, l’adaptation des œuvres aux nouveaux besoins. J’attends que toute forme de vie consacrée s’interroge sur ce que Dieu et l’humanité d’aujourd’hui demandent.

- Les monastères et les groupes d’orientation contemplative pourraient se rencontrer, ou bien se relier de manières plus variées pour échanger les expériences

- Personne, cependant, cette Année, ne devrait se soustraire à une vérification sérieuse concernant sa présence dans la vie de l’Église et sur la manière de répondre aux demandes nouvelles

- L’Année de la Vie Consacrée ne concerne pas seulement les personnes consacrées, mais l’Église entière. Je m’adresse ainsi à tout le peuple chrétien pour qu’il prenne toujours davantage conscience du don qu'est la présence des consacrés...

° (suit la liste des saints fondateurs, chaque fois une personne pour une fondation bien particulière)

- je vous invite, Pasteurs des Églises particulières, à une sollicitude spéciale pour promouvoir dans vos communautés les différents charismes, historiques ou bien nouveaux, en soutenant, en animant, en aidant le discernement, en vous faisant proches avec tendresse et amour des situations de souffrance et de faiblesse




Je sais, j'ai mis des notes critiques, ironiques...
Ce texte traduit est-il fidèle à l'original, ou déjà dévié ?
Si cet exercice peut vous être utile, je vous en fournis le résultat ici ...

Avec mes bonnes salutations
Glycéra

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