Ma question pourra peut-être paraître triviale, mais je n'en connais pourtant pas la réponse :
Pourquoi fait-on toute une histoire sur l'attitude à adopter envers les divorcés "remariés" en particulier, alors que les gens coupables d'autres péchés ne semblent pas poser de problème particulier? En effet, un assassin ne pose pas de problème. On lui dit NON pour la communion, jusqu'à la confession. De même pour les concubins (péché de fornication), y compris ceux qui ont des enfants : c'est NON, jusqu'à ce que l'état de péché cesse. Alors pourquoi les divorcés "remariés" (qui sont en état d'adultère, ce qui est pire que la fornication) posent-ils problème? Pourquoi ne peut-on pas le dire simplement NON comme aux autres?
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