François défend une ligne plus centriste. Recentrage donc. François se met à distance des différentes options. C'est peut-être une ligne qu'il aurait dû suivre dès le début de son pontificat, non en cours de route, sous la pression des cardinaux.
Avec le recul, je dirais que François a commis une grande maladresse en verrouillant à tout prix. Le verrouillage a été tel qu'il s'est traduit par un rapport scandaleux... Cela a révélé autant les manœuvres scandaleuses que le fond léger. C'est à ce moment-là que François a perdu. Il a progressivement et rapidement perdu la main. Personnellement, je pense qu'il a capitulé le 16 octobre. Et le coup de grâce est venu avec l'assurance sereine du cardinal Burke affirmant, entre autres, que le rapport pouvait être rejeté. S'il en avait l'assurance, n'est-ce pas parce que les cardinaux ont bien manœuvré ?
Autre aspect: une citation de Benoit XVI dans le discours, ce démontre une volonté de situer sur les pas de son prédécesseur pour désamorcer la crise.
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