Je ne me tiens en effet pas très au courant de ce qui s'est passé dans le monde liturgique après les années 50 car c'est une époque assez violente et déprimante.

Certainement intéressante car les protagonistes sont d'un bon niveau, et je ne nie pas un progrès certain dans les découvertes de nouvelles sources, mais l'idéologie est très sous-jacente.

Donc je me contente d'un petit viatique propre à exorciser les tenants de la messe réformée quand j'en rencontre sur mon passage mais je ne vais guère plus loin.

Sans aucun doute par manque de temps, je fuis la polémique et je puise davantage dans les travaux anciens, même si je suis conscient qu'ils sont limités : vraiment le nouvezau rite ne m'intéresse pas.

On me demandait ce que je reprochais au Barroux : c'est justement le flirt permanent du Père Abbé avec les idées nouvelles, ses balades trop fréquentes hors de son monastère dans des offices du nouveau rite, les ajouts (inutilisables car ils n'y connaissent rien) de pièces pour le nouveau rite dans le 804 qu'ils publient, bref leur côté moderniste en retard...

Je suis donc content de savoir que des gens participent avec talent aux travaux liturgiques actuels avec des idées plus que saines. Je n'en serais pas capable à mon niveau donc je suis rassuré. Reste à les faire connaître.

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