Bonjour et merci, Athanase.
Voici :
" François le « progressiste » ne serait pas fâché de réussir où a échoué Benoît l’« intégriste ». "
Dois-je en déduire que la FSSPX, en principe "anti-progressiste", et fréquemment qualifiée "d'intégriste", ne serait pas fâchée, de son côté, de "conclure" avec François, le "progressiste", plutôt qu'avec Benoît, "l'intégriste" ?
Peut-être aurait-il plutôt fallu écrire : " François le « pragmatique » ne serait pas fâché de réussir où a échoué Benoît le "dogmatique". "
En l'occurrence, le "pragmatique" ne ferait peut-être pas de la référence au Concile un préalable impératif, alors que le "dogmatique", lui, faisait vraiment ou semblait vraiment faire de cette même référence un préalable impératif, apparemment ou officiellement inaménageable ou inconditionnel.
Je n'ose imaginer, en effet,
d'une part, que la FSSPX ne soit plus, notamment, anti-progressiste,
d'autre part, que le Pape François ne soit plus philo-progressiste,
(je ne dis pas qu'il est progressiste, mais il ne donne vraiment pas l'impression de détester les conceptions et positions progressistes)
enfin, que le Pape Benoît XVI ait été, ou soit devenu, intégriste.
Merci beaucoup pour tout éclairage sur le sens de la phrase de Monsieur l'Abbé Claude BARTHE, et sur le bien-fondé éventuel de mon allusion au pragmatisme de François et au dogmatisme de Benoît XVI.
Bon après-midi et à bientôt.
Scrutator.
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !