Plus lâches, je ne crois pas. Les conditions ne changeront pas, car ce serait remettre en cause la doctrine sur les conditions de validité d'un mariage : liberté, fidélité, conscience de l'indissolubilité, fécondité.
Que les situations actuelles introduisent de nouvelles raisons légitimes de justifier qu'une des conditions n'était pas remplie, sans doute. Mais pas les conditions elles-mêmes.
La nuance est de taille.
Et en tout état de cause, la décision des tribunaux n'est jamais infaillible. C'est une histoire de conscience entre l'homme et Dieu. Entre un époux dont la mariage a été déclaré nul alors que sa conscience lui dit le contraire, mais qui aura tout loisir de se "re"-marier officiellement et un autre dont le tribunal a refusé la déclaration de nullité, mais qui en conscience sait que son mariage n'en n'était pas un, lequel, à votre avis, peut vraiment communier ?
Ion
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