Et il ne faut pas non plus s'y installer. On ne peut douter indéfiniment sans atteindre le rejet pur et simple de l'Incarnation voire de la Résurrection
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Ça me vient à l'esprit en lisant la page 22.

Ainsi l'amateur de cerf-volant qui par grand vent lâche du leste encore et encore et encore ne risque-t-il de perdre? Il faut tenir celui-ci sous ses yeux, donner du fil mais de façon intelligente et équilibrée. Car le vent (du monde) peut le lui enlever. Il en est de même pour ce cavalier qui jamais ne se retourne pour vérifier si sa charge est bien toujours aussi bien calée derrière lui. L'équilibre du chrétien ce sont les Écritures et la Tradition. Le catholique ne lit pas QUE LA BIBLE. -même si tout le catholicisme y est déjà présent. En faire fi, c'est dénaturer le catholicisme, c’est le contrefaire.

J'ai pu observer que nombreux sont les courants œcuméniques ou charismatiques ou eucharistiques ou évangéliques qui se présentent aujourd’hui carrément catholiques profitant de l’absence de balises et du « jeu » occasionnée par l'exces de leste de vérification. Ces groupes divulguent un discours ideologico-religieux saupoudré de vérités catholiques et s’appuyant sur des promesses de « pont jetés » entre le catholicisme et tout le reste. Il arrive le jour ou la doctrine catholique authentique, traditionnelle, sera déclarée fausse et contrevenant a leur loi.

Nous apprenons que Saint Augustin a changé plusieurs fois de position doctrinale. Mais il a fallu 2013 pour le savoir. Ainsi il y a différents Saint Augustin. Équivalents.

Ils tiennent un discours ou l’on ne comprend rien, mais dont l’on il ressort que le nouveau mot pour « croire » est bel et bien le « doute ». La certitude est hors leur loi.

De nos jours on nous interprété les Écritures soit à travers le prisme du tout symbolique du judaïsme ou alors du tout prosaïque des protestants. Le règne du « à toi de voir » ravage le catholicisme.

D’un coté le doute, et en face la multitude des certitudes clignotantes et éphémères provenant du libre examen encouragé par ceux qui devraient le combattre.

On croirait avoir affaire aux révolutionnaires de 89 qui faute de pouvoir pendre le roi, ont anobli tout le monde en démocratisant la décapitation.

Ainsi de nos jours, tous ces courants pseudo évangéliques, catechuminals, pastoraux se présentent comme catholiques avec à leur tête des gourous qui n’ont de prêtres que le nom. Pour parfaire la confusion ces gens se réunissent dans l’église du quartier, souvent louée pour l’occasion. De toute façon quand il n’est pas de mèche, le curé a les mains liées.

On se sent seuls. Pour nous consoler nous n’avons que l’évocation des vicissitudes des chrétiens orientaux ou ailleurs dans le monde.

Cette impression d'esseulement s’aggrave lorsqu’ils ne se gênent pas pour vous rappeler que Rome vous a lâchés. Que le Pape lui-même a compris que toutes les religions se valent. Et d'en appeler pour preuve qu’aux yeux du Souverain Pontife le prosélytisme est une tare car : Pour François, le prosélytisme est « une bêtise magistrale », car l’essentiel est de « se connaître et de s’écouter, et de faire connaître le monde qui nous entoure ». .

"O Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours a Vous"

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