L'enfant nouvellement baptisé n'a certainement pas la conscience suffisante, et encore moins les connaissances, pour comprendre ce que son parrain et sa marraine demandent pour lui. Ils s'engagent pour l'enfant, à sa place.
Cela suffit-il pour autant à rendre nul le baptême?
La réponse est, évidemment, "non"!
Le défaut de conscience ou de connaissance peut-il donc suffir pour déclarer qu'un sacrement est invalide et dans le cas du mariage que le consentement échangé n'a pas de valeur?
Qui plus est qui peut réellement dire qu'il sait à quoi il s'engage lors d'un mariage, d'une ordinnation sacerdotale ou d'un baptême? Personne!
car nul ne sait de quelles difficultés et embûches sa vie sera parcourue!
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