Comme l'indique l'article pré-cité, on est désormais quasi-sûr de ce qu'on subodorait depuis des décennies, à savoir que sous la surface du globe, se trouvent de gigantesques masses d'eau, estimées à trois fois le volume des océans "de surface".

Pour rappel, depuis deux siècles, nombreux sont ceux qui ont raillé cette phrase qui est le début dans la Genèse de la relation du grand déluge, universel, au prétexte qu'il n'y a pas selon eux de grandes quantités d'eau dans les entrailles de la terre : "L'an 600 de la vie de Noé, le dix-septième jour du deuxième mois, TOUTES LES SOURCES DU GRAND ABIMES JAILLIRENT, et les écluses du ciel s'ouvrirent".

Le texte biblique, très succinct, semble donc décrire un mélange de pluie monstrueuse s'abattant, conjuguée à des masses d'eau faisant irruption des profondeurs de la Terre.

Pour ce qui concerne ces "ECLUSES DU CIEL QUI S'OUVRIRENT", des scientifiques, s'appuyant sur l'existence encore aujourd'hui dans le système solaire d'anneaux de glace entourant la planète Saturne dans notre environnement "immédiat", imagine la possibilité que la terre ait elle-même été protégée autrefois par un dais d'eau, les "eaux d'en-haut" du récit biblique, qui se seraient abattus en même temps sur la terre, ce qui aurait modifié après le Déluge les conditions de vie, les rendant plus dures, d'où le gigantisme de nombre de fossiles, plantes et animaux..

La phrase dans l'article de Maxisciences du dénommé Steven Jacobsen : "Nous devrions être heureux de la présence de ce réservoir. S'il n'était pas là, il serait à la surface de la Terre et les sommets des montagnes seraient la seule terre visible" semble de la part de ce scientifique un clin d'œil à la formule de la Bible comme quoi "l'eau augmenta de plus en plus et toutes les hautes montagnes qui sont sous le ciel tout entier furent recouvertes. L'eau monta de 7 mètres au-dessus des montagnes, si bien qu'elle furent recouvertes [autrement dit, l'Arche, qui avait un tirant d'eau de 7 mètres, vu sa description, pouvant circuler partout désormais sans crainte de se faire éventrer par un sommet proche de la surface, tout étant désormais noyé, et bien noyé]...

Pour ce qui est de savoir comment ces masses d'eau, emprisonnées aujourd'hui apparemment dans une sorte de roche éponge, auraient pu être libérées à la surface sous forme liquide, c'est un autre problème, mais à Dieu, rien d'impossible, et à qui cherche honnêtement, la réponse vient en général toujours à un moment ou un autre...

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