Le fait d'avoir une connaissance imparfaite ou faussée de ce que sont le bien et le mal et celui de changer les rubriques du bien et du mal.

L'homme qui agit contre sa conscience agit contre la raison et commet donc un acte contre nature. Quant à dire "finalement ma conscience me dit le bien c'est le contraire de ce que je croyais", en particulier lorsque cette prétendue prise de conscience est plus confortable, c'est bien souvent de la mauvaise foi. Prenez par exemple le cas des divorcés-remariés qui exigent que l'Eglise change ses règles pour eux. S'ils étaient si sûrs d'eux de commettre un acte bon, auraient-ils autant besoin de la caution de l'Eglise.

Pour ce qui est du génocide, peut-on raisonnablement penser qu'un tel acte puisse être bon ? Soyons sérieux.

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