(il n'y en a pas un autre, ne fût-ce que parce qu'aucun Pape à ce jour n'a donné de suite explicite aux Lettres apostoliques "Postquam Dei munere") parle, comme les 19 autres Conciles oecuméniques de l'Église dans leurs parties doctrinales avant lui ont parlé : pour leur temps et pour tous les temps suivants, sans exception, et sans restriction, et le contenu de ce qu'ils disent, inspirés par l'Esprit, et la manière dont ils s'expriment, inspirée par l'Esprit, ne sont pas sujets, pour un catholique, à reniements, critiques, changements, tergiversations, glissements ou nuances.
Cela doit être très clair.
Personne de sensé (sauf les ennemis de l'Eglise et de la Papauté) n'a jamais parlé de magie, ni de semi-divinité, ni d'oracle de la Pythie, ni d'impeccabilité, ni de l'impossibilité d'une erreur de jugement sur le plan des personnes ou du comportement humain (comme ce fut le cas de Saint-Pierre dans le cas auquel vous songez, qui a bien pris soin, lui, de bien le faire relater en détail par Saint-Luc, pour notre édification, pas pour notre chute, relire encore le fil ICI).
Non ici (au Concile du Vatican, et je vous invite à relire ces textes), il s'agit d'un autre plan, de toute autre chose, il ne s'agit pas de la composante purement humaine de l'Église, il s'agit des fondements de la Foi, de son être et non-être, de sa nécessité absolue, ABSOLUE, dans son intégralité, pour l'exercice légitime de la juridiction, a fortiori de la juridiction suprême.
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