Bonsoir, Yves Daoudal.

1. Voici (mais vous connaissiez peut-être déjà cette adresse) :

Ici.

2. Je vais être prudent dans ma formulation : il est bien possible que certains de ses tweets ressemblent parfois à ce type de phrase, que je dois au journaliste économique Philippe LABARDE, qui reconnaissait, pour le regretter, y avoir lui-même quelquefois recouru :

" LE BIEN, C'EST PAS MAL ; LE MAL, C'EST PAS BIEN. "

3. On ne peut pas toujours exprimer quelque chose d'édifiant, ni, a fortiori, d'élaboré, en seulement une à trois phrases, et ce que je viens d'écrire est vrai pour chacun d'entre nous, comme pour le Pape François, qui semble chercher, au moyen de ses tweets, à faire passer facilement et rapidement quelques idées simples, sans qu'elles soient nécessairement simplistes.

4. A titre personnel, je serais incapable de m'exprimer de cette manière-là ; l'abondance n'est pas toujours un gage de pertinence, et il arrive qu'un propos interminable manifeste une pensée insaisissable, mais quand c'est long, j'aime bien, qu'il s'agisse d'une audience ou d'un discours, d'une exhortation apostolique ou d'une lettre encyclique.

Bonne nuit et à bientôt.

Scrutator.

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